Devenir un dojo ?

Yoshigasaki Sensei, Valencia 2000, kaiten nage.

Yoshigasaki Sensei, notre Doshu, disparaissait prématurément il y a deux mois. Une page d’hommages lui a été consacrée. En plus de 40 ans, il a développé sa propre école d’aikido, le Ki no Kenkyukai International, regroupant maintenant presque 200 dojos dans plus de 20 pays, essentiellement en Europe.

En 1983 j’ai participé à mon premier stage avec Yoshigasaki Sensei à Marseille. Je me présenterais dans un prochain poste. Depuis cette date j’ai participé à des stages en Italie, en Espagne, en France, en Allemagne, en Hollande, en Russie, en Belgique, en Suisse (je dois en oublier). Actuellement tous ces dojos pensent et imaginent l’avenir de notre école.

Depuis Montpellier, la seule façon de rendre hommage à son enseignement est de créer un dojo.

En ces temps de pandémies les dojos « physiques » sont fermés. Mais un dojo est plus qu’un lieu ou une salle, c’est surtout un groupe. Il est encore possible de pratiquer en extérieur. En petit comité et en respectant les règles de distanciation : donc cela se limite à la pratique du kenkodo ou, par exemple, à l’initiation à la pratique du bokken ou du jo.

À tenter de créer un dojo, le seul risque est de réussir.

Plus d’informations à venir. Contact kiaikidomontpellier@gmail.com